Ca y est, je suis revenue ! De seize jours de voyage dans le grand nord argentin. Seize jours magiques, riches, merveilleux et surtout intenses ! Réellement intense : on dort très peu (la moyenne doit être de cinq heures par nuit), on voyage énormément (avec 8000km parcourus, la moyenne est là de 500km par jour), on est tout le temps entourés, et de personnes qui parlent des tas de langues différentes (des fois le cerveau doit se concentrer plutôt longtemps avant de trouver laquelle), on en prend plein les yeux, vraiment, on marche pas mal, on rit énormément, on chante beaucoup... En deux semaines, on vit et on apprend certainement plus qu'en deux mois dans notre propre pays. Autant l'année d'échange est un parenthèse dans sa vie (pas « une année de plus », mais plutôt une « deuxième vie en parallèle »), autant le bus trip est une parenthèse qui n'a rien à voir avec l'échange en soi. On goûte à la vie de nomade. On en ressort lessivés mais heureux !
Nous nous sommes retrouvés le mercredi 18 février au matin, au terminal de Buenos Aires. Il y en a que l'on a pris dans nos bras, et d'autres qui n'étaient pas venus en Patagonie et à qui l'on a dit « Bienvenue dans l'aventure ! ». Et on est partis... Pour revenir sûrement vendredi 6 mars au matin, la valise deux fois plus lourde de souvenirs et de cadeaux que l'on n'a pas pu s'empêcher d'acheter sur les marchés typiques de la région de Jujuy.
Nous avons embarqué dans une camionnette tout-terrains qui roulait à toute vitesse.
Avons observé un coucher de soleil sur les palmiers.
Parlé à des perroquets qui nous ont répondu. On s'est bien marrés !
Pris la douche du siècle en passant en bateau en-dessous des chutes d'Iguazu.
Nous sommes retrouvés en zodiac à Mocona, sur un fleuve en plein milieu de la forêt dense, avec à gauche l'Argentine et à droite le Brésil.
Ecrit sur les murs d'un restaurant à Tilcara.
Avons pris un bol d'air frais à 4170 mètres d'altitude.
Avons été étonnés face à la blancheur quasi immaculée d'un désert de sel.
Vu le (vrai) corps d'un petite fille sacrifiée il y a 500 ans lors d'une cérémonie inca.
Avons pris le téléphérique à Salta.
Nous avons fait une balade à cheval en plein milieu de la forêt, et en sommes ressortis éraflés de partout.
Pris le bain de l'année dans les thermes de Fiambala, en haut d'une montagne.
Joué à écouter les échos dans le Parc national de Talampaya.
Et nous sommes répétés des dizaines de fois que, quand même, « on n'échangerait notre place pour rien au monde ! »
Je referais d'autres articles bien plus complets, je voulais juste vous en parler un peu. Alors je termine sur une série de photos, une par jour.
Nous nous sommes retrouvés le mercredi 18 février au matin, au terminal de Buenos Aires. Il y en a que l'on a pris dans nos bras, et d'autres qui n'étaient pas venus en Patagonie et à qui l'on a dit « Bienvenue dans l'aventure ! ». Et on est partis... Pour revenir sûrement vendredi 6 mars au matin, la valise deux fois plus lourde de souvenirs et de cadeaux que l'on n'a pas pu s'empêcher d'acheter sur les marchés typiques de la région de Jujuy.
Nous avons embarqué dans une camionnette tout-terrains qui roulait à toute vitesse.
Avons observé un coucher de soleil sur les palmiers.
Parlé à des perroquets qui nous ont répondu. On s'est bien marrés !
Pris la douche du siècle en passant en bateau en-dessous des chutes d'Iguazu.
Nous sommes retrouvés en zodiac à Mocona, sur un fleuve en plein milieu de la forêt dense, avec à gauche l'Argentine et à droite le Brésil.
Ecrit sur les murs d'un restaurant à Tilcara.
Avons pris un bol d'air frais à 4170 mètres d'altitude.
Avons été étonnés face à la blancheur quasi immaculée d'un désert de sel.
Vu le (vrai) corps d'un petite fille sacrifiée il y a 500 ans lors d'une cérémonie inca.
Avons pris le téléphérique à Salta.
Nous avons fait une balade à cheval en plein milieu de la forêt, et en sommes ressortis éraflés de partout.
Pris le bain de l'année dans les thermes de Fiambala, en haut d'une montagne.
Joué à écouter les échos dans le Parc national de Talampaya.
Et nous sommes répétés des dizaines de fois que, quand même, « on n'échangerait notre place pour rien au monde ! »
Je referais d'autres articles bien plus complets, je voulais juste vous en parler un peu. Alors je termine sur une série de photos, une par jour.
Au final, on était bien heureuses !